La recherche d’aide psychologique en milieu policier : qu’en disent des policiers et policières du SPVM ?

Bien que la profession policière soit reconnue comme pouvant générer un niveau élevé de stress, les études montrent que les policier·ière·s font encore peu appel à de l’aide psychologique. La plupart de ces études ont été conduites auprès de populations policières américaines, mais aucune étude à ce...

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Detalles Bibliográficos
Autor principal: Benoît, Maryse (Autor)
Otros Autores: Bernier, Lucie ; Daxhelet, Marie-Laure ; Charpentier, Laura ; Fortin, Louis-Francis
Tipo de documento: Electrónico Artículo
Lenguaje:Francés
Publicado: 2024
En: Criminologie
Año: 2024, Volumen: 57, Número: 2, Páginas: 351-380
Acceso en línea: Volltext (kostenfrei)
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Journals Online & Print:
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Palabras clave:

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520 |a Bien que la profession policière soit reconnue comme pouvant générer un niveau élevé de stress, les études montrent que les policier·ière·s font encore peu appel à de l’aide psychologique. La plupart de ces études ont été conduites auprès de populations policières américaines, mais aucune étude à ce sujet n’a été réalisée auprès d’une population policière québécoise. En 2021, une étude s’intéressant à l’utilisation des services d’aide psychologique et comportant un volet quantitatif et qualitatif a été conduite auprès des policier·ière·s du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). Le présent article porte sur les résultats du volet qualitatif qui visait plus spécifiquement à recueillir le point de vue des policier·ière·s sur les barrières à la consultation et leurs recommandations pour la faciliter. Entre 106 et 156 participant·e·s ont répondu sur la plateforme SurveyMonkey aux questions ouvertes de l’étude plus large. Les résultats des analyses thématiques montrent que les barrières à la consultation identifiées par les policier·ière·s se rapportent à des obstacles logistiques, des obstacles sur le plan professionnel et personnel, et des obstacles en lien avec le psychologue ou le professionnel de la santé. En guise de recommandations, les participant·e·s à l’étude ont indiqué entre autres vouloir entendre parler et parler davantage de la santé mentale, ce qui témoigne de leur intérêt pour le sujet et de leur souhait que les questions relatives à la santé mentale des policier·ière·s soient abordées de manière plus ouverte au sein de l’organisation. Mots-clés : Santé mentale, policier·ière·s, barrières à la consultation, demande d’aide psychologique 
520 |a Bien que la profession policière soit reconnue comme pouvant générer un niveau élevé de stress, les études montrent que les policier·ière·s font encore peu appel à de l’aide psychologique. La plupart de ces études ont été conduites auprès de populations policières américaines, mais aucune étude à ce sujet n’a été réalisée auprès d’une population policière québécoise. En 2021, une étude s’intéressant à l’utilisation des services d’aide psychologique et comportant un volet quantitatif et qualitatif a été conduite auprès des policier·ière·s du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). Le présent article porte sur les résultats du volet qualitatif qui visait plus spécifiquement à recueillir le point de vue des policier·ière·s sur les barrières à la consultation et leurs recommandations pour la faciliter. Entre 106 et 156 participant·e·s ont répondu sur la plateforme SurveyMonkey aux questions ouvertes de l’étude plus large. Les résultats des analyses thématiques montrent que les barrières à la consultation identifiées par les policier·ière·s se rapportent à des obstacles logistiques, des obstacles sur le plan professionnel et personnel, et des obstacles en lien avec le psychologue ou le professionnel de la santé. En guise de recommandations, les participant·e·s à l’étude ont indiqué entre autres vouloir entendre parler et parler davantage de la santé mentale, ce qui témoigne de leur intérêt pour le sujet et de leur souhait que les questions relatives à la santé mentale des policier·ière·s soient abordées de manière plus ouverte au sein de l’organisation. Mots-clés : Santé mentale, policier·ière·s, barrières à la consultation, demande d’aide psychologique 
520 |a While the police profession is recognized as being capable of generating high levels of stress, studies have shown that police officers nonetheless continue to rarely seek psychological help. Most of these studies have been conducted on American police officers, but no study on this subject has been conducted on police officers in Quebec. To this end, a study on the use of psychological assistance services including quantitative and qualitative components was conducted in 2021 with SPVM police officers. This article focuses on the results of the qualitative component, which aimed to gather the police officers’ point of view on the existing barriers to consultation, as well as their recommendations for facilitating it. Between 106 and 156 police officers answered open questions on SurveyMonkey. The results of the thematic analyses reveal that the barriers to consultation identified by the police officers relate to logistical barriers, professional and personal barriers, as well as barriers related to the psychologist or health professional. Recommendations from study participants included wanting to hear and talk more about mental health, reflecting their interest in the topic and their desire for police mental health issues to be addressed more openly within the organization. Keywords: Mental health, police officers, barriers to counselling, seeking psychological help 
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